Encore eux ?? Mais ils sont partout ! Hulot, Greta, Cyril Dion, Yann-Artus, Hugo Clément… Ces partisans du modèle amish sont alarmistes et d’un pessimisme… Les écolos sont chiants, au point qu’un article s’imposait. Pourquoi les écolos sont chiants ?

Ils sont contre Amazon

Les écolos ont déclaré la guerre à Amazon, alors que c’est une plateforme géniale. Tout est là, au même endroit. On peut se faire livrer en 24h des milliers de produits venant du monde entier. Et le tout à des prix défiants toute concurrence ! Clairement on ne peut pas se passer d’Amazon.

Mais non, les écolos disent que ce sont des plateformes polluantes, qui ne respectent pas leurs salariés, qui paient peu d’impôts en France tout en détruisant beaucoup d’emplois et de commerces. Ils disent aussi que ce sont des plateformes qui appellent à consommer toujours plus.

*Le pire c’est qu’ils ont raison…


Amazon n’est plus une entreprise, c’est un empire. Elle agit comme une pieuvre dans l’économie mondiale : l’entreprise attaque un secteur, casse les prix, bouleverse ses codes, en devient le maître, puis s’attaque à un autre. Le livre, le e-commerce, le commerce physique, le cloud, la maison connectée, le streaming musical et le streaming vidéo…

Amazon est championne de la fraude fiscale.

La plateforme dissimulerait 57 % de son chiffre d’affaires réalisé en France pour pratiquer de l’évasion fiscale massive en déplaçant une grande partie de ses bénéfices vers l’étranger. Mais dans le même temps, le géant américain aurait bénéficié de 5,6 millions d’euros au titre du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE). (plus de chiffres ici)

Amazon détruit les emplois.

L’argument des écolos sur la destruction d’emplois a été plusieurs fois étudié, il s’avère que pour 1 emploi créé par la multinationale cela détruit plus de 4 emplois dans le commerce traditionnel. Avec l’ouverture de 19 nouveaux projets d’entrepôts en France avant fin 2021, cela pourrait entraîner la destruction de 100 000 emplois.

Amazon détruit la planète.

L’impact écologique d’Amazon est colossal… Le bilan carbone annoncé par Amazon équivaut à 10% des émissions de la France. Côté transport, des millions de trajets de camions, des millions de trajets en bateau et environ 48 000 trajets en avion. Son activité de stockage de données informatiques émettrait l’équivalent des émissions de la Norvège chaque année.

En bref, les activités de la multinationale sont totalement incompatibles avec une transition écologique juste.

Symbole de la surconsommation, en 2018, le géant du commerce en ligne aurait détruit 3,2 millions de produits invendus en France.

Bon, on arrête là…

sources : Le Monde, Les Amis de la Terre , rapport Attac

Ils n’aiment pas H&M et Zara

Les écolos n’aiment pas les grosses marques de mode : Zara, H&M, Stradivarius, Primark, Mango (cela vaut aussi pour les marketplace type asos et missguided). Ces enseignes ont pourtant des belles collections, des prix imbattables et des inédits en séries ultra limitées. En plus les influenceurs font souvent des codes promo chez eux. C’est encore moins cher !

Mais non… les écolos disent que la « fast fashion » détruit la planète et exploite des milliers de personnes et qu’il faut absolument éviter toutes ces enseignes.

*Le pire c’est qu’ils ont raison…


Il faut savoir aujourd’hui que la mode et l’industrie textile sont responsables de plus de 2% des émissions de gaz à effets de serre mondiaux (plus que le transport maritime et aérien réunis*). 100 milliards de vêtements par an sont vendus dans le monde (60 % de plus qu’il y a quinze ans).

Nous consommons tellement de vêtements que nous utilisons seulement 30% de notre garde-robe, et nous  portons un vêtement seulement 7  à 10 fois

La fast fashion d’un point de vue social est une catastrophe. 12 millions d’enfants de 6 à 15 ans y travaillent. Pour plus de 60 heures de travail par semaine, un enfant au Bangladesh gagnera 30€/mois.
Les femmes sont également les principales victimes de ce système, en Asie elles travaillent 12h/jour, 6j/7 et touchent… 1,5 centimes par pièce confectionnée (pour un tshirt vendu 29€ en Europe)

sources : rapport OXFAM et enquête Overseas Institue , *étude ellenmacarthurfoundation , étude The International Energy Agency

Ils ne veulent plus qu’on mange de viande

Ah les bobos écolos vegans, végétariens ou flexitariens. Toujours à critiquer ceux qui mangent de la viande ! Un bon morceau de boeuf au barbec ça ne fait de mal à personne. On a toujours mangé de la viande et on en a besoin.

Mais non, eux disent que c’est une mauvaise habitude, que nous mangeons beaucoup trop de viande et que ce n’est plus viable d’en consommer autant. Que la production de viande ça pollue beaucoup trop. Que consommer de la viande c’est aussi fermer les yeux sur la maltraitance animale.

*Le pire c’est qu’ils ont raison…


La viande est un sujet qui fâche. Comme tous les sujets qui touchent à une « tradition », une « culture », une « norme ». On a tous été habitués à manger de la viande, pour les plus « chanceux » à tous les repas. Mais on se rend compte que la viande, en grosse quantité, n’est pas si bonne pour la santé et qu’elle n’est pas si indispensable à notre équilibre. Mais surtout que la viande pose des problèmes environnementaux et éthiques importants.

La viande, un souci environnemental

On a pris l’habitude d’éteindre la lumière, de ne pas gaspiller l’eau, de recycler, mais diminuer ou arrêter notre consommation de viande aurait un impact considérable. L’élevage est la cause de 14,5 % des gaz à effet de serre (soit plus que la totalité des émissions directes du secteur des transports), de 80 % de la déforestation en Amazonie, mais aussi de pollution et de gaspillage de l’eau.

Choisir de moins manger de viande a un impact puissant sur l’environnement. Saviez-vous qu’un seul jour sans viande a plus d’effets que de manger 100% local ? (l‘article complet ici)

La viande, un souci éthique

Parce que les animaux sont des êtres sensibles. Comme nous, ils éprouvent des émotions telles que la joie ou la tristesse, et ressentent la douleur, le plaisir, et une multitude de sensations.

En France, 80 % des animaux grandissent en élevage intensif. Poulets entassés dans des hangars, cochons élevés sur du béton, poules pondeuses enfermées dans des cages… une majorité d’animaux vivent une vie de misère, de souffrance et d’ennui.

Le souci éthique se pose pour tous les élevages, même bio, même locaux, où les pratiques sur le terrain ou en abattoir sont malheureusement souvent les mêmes (je vous invite  à regarder les images des abattoirs récoltées par l’association L214. C’est effarant).

Pour ce qui est de l’argument, « la viande est indispensable pour notre équilibre et notre santé », oui et non. Les scientifiques sont unanimes sur la question : il faut réduire notre consommation de protéines animales et consommer plus de légumineuses (article complet ici).

Sources : rapport technique de l’OMS 916, la FAO, Greenpeace , OMS

Ils veulent qu’on mange bio

Toujours à critiquer nos assiettes, en plus de la viande, les écolos veulent qu’on mange bio, local et de saison. Rien que ça ? Pourquoi se priver d’avocat, de tomates en hiver, de kiwis et de fraises alors qu’on peut en avoir toute l’année ?

Mais non, eux disent qu’il faut consommer bio, de saison et local. Que beaucoup de fruits et légumes non certifiés sont désastreux pour les hommes et l’environnement.

*Le pire c’est qu’ils ont raison…


Le bio ce n’est pas qu’une étiquette de plus. Il y a un réel intérêt à privilégier les aliments bio. Cela peut avoir un impact non anodin : sur votre santé, sur la planète, sur les producteurs.

Manger bio pour éviter les pesticides

Manger bio c’est manger des aliments sans pesticides et sans OGM, ou en faible quantité. Ils en contiennent en moyenne 223 fois moins que leurs homologues issus de l’agriculture « conventionnelle ». La consommation du bio permet donc de limiter l’accumulation de ces substances toxiques dans notre organisme. Et ça c’est plutôt cool !

Le bio préserve l’environnement et la biodiversité

Le bio a le mérite de préserver les paysages ruraux en privilégiant les petites exploitations et en favorisant les haies pour éviter l’érosion et héberger les insectes et autres animaux auxiliaires de culture, essentiels à la production biologique.
Exit les parcelles rectilignes et immenses, les infrastructures industrielles et les machines qui vont avec.

Le bio pour protéger les sols et nappes phréatiques

L’agriculture biologique utilise moins d’eau, en raison de ses techniques de travail du sol, des variétés qu’elle utilise mais aussi parce que sa logique agronomique et donc économique, ne l’incite pas à intensifier sa production annuelle mais à raisonner sur une rotation longue.

L’agriculture écologique dynamise la fertilité des sols sans avoir recours à des produits chimiques. Elle les protège de l’érosion, de la pollution et de l’acidification.

L’agriculture écologique permet aux agriculteurs de lutter contre les ravageurs, les maladies et les mauvaises herbes en utilisant des matières organiques végétales ou animales sans utiliser de pesticides chimiques qui polluent les sols, l’eau, et dégradent les écosystèmes, ainsi que la santé des agriculteurs et des consommateurs.

Parmi les avantages de consommer bio on pourrait aussi souligner qu’il permet une meilleure rémunération des producteurs.

Le bio a aussi ses limites. Ayant suscité beaucoup d’intérêt ces dernières années, il a attiré de nombreux acteurs pour qui l’environnement n’était pas forcément la priorité. Pour des produits de qualité, privilégiez les produits bio, locaux et de saison.

Sources : Greenpeace, l’Agence bio , l’inserm

Ils ne veulent plus de plastique

Les écolos sont chiants à demander l’arrêt du plastique à usage unique. C’est pourtant hyper pratique. C’est le top pour les repas du midi, les pique-niques, les événements festifs. Top aussi pour les boissons, les pailles, l’eau minérale ou pour les sacs de course…

Mais non, eux disent que le plastique finit dans l’océan et que notre utilisation du plastique a explosé ces dernières années ! Que ça n’a pas de sens de fabriquer des produits plastique qui serviront une fois sur un temps très limité (exemple : des couverts en plastique = un repas).

*Le pire c’est qu’ils ont raison…


Le plastique polluant dès sa production

6% de la consommation mondiale de pétrole est consacrée à la production de plastique. Ce chiffre pourrait passer à 20% d’ici 2050 si l’on garde le même rythme de consommation de plastique…

Le plastique finit dans les océans et tue la vie marine

13 millions de tonnes de plastique se retrouvent dans les océans chaque année. 690 espèces marines sont affectées par la pollution plastique dans les océans, et 100 000 animaux marins meurent chaque année à cause de la pollution plastique. Si on continue ainsi, il y aura plus de déchets que de poissons dans les océans d’ici 2050.

Le plastique dans nos aliments

Le plastique se décompose dans l’océan et devient du microplastique (des mini bouts de plastique de quelques millimètres). Les animaux marins les ingèrent, mais aussi  les humains à la suite de la chaîne alimentaire.
On en retrouve absolument partout : dans l’eau minérale, dans l’eau du robinet, le sel, la bière, l’air.
Selon une étude australienne publiée par WWF, on ingérerait 5 grammes de plastique par semaine, soit l’équivalent d’une carte de crédit.

Le plastique pas si simple à recycler.

On pourrait dire que le plastique a l’avantage de se recycler… Oui mais dans les faits, seul 20% du plastique est recyclé. 80% du plastique produit est donc enfoui sous terre, brûlé ou tout simplement perdu dans la nature.

Source : le figaro, WWF et rapport et étude de l’Université de Newcastle  ,
Pour creuser : Atlas du plastique

> Pour aller plus loin, rendez-vous sur notre article: « pourquoi le plastique pose problème »

Ils ne veulent plus qu'on prenne l'avion

Nouveau combat des écolos : l’avion. Ce moyen de transport merveilleux qui nous a ouvert au monde. On peut aller partout, quand on veut, pour pas grand chose. Traverser la planète en quelques heures de vol est désormais possible. En Europe on bouge partout en 1 à 4h, pour 20, 30, 40, 100€…

Mais non, les écolos disent qu’il faut absolument stopper (ou ralentir drastiquement) notre usage de l’avion.

*Le pire c’est qu’ils ont raison…


Premier point : notre empreinte carbone moyenne en tant que français est aujourd’hui entre 11 et 12 tonnes de CO2. Si l’on veut limiter l’augmentation des températures à + 2 °C, il faut que d’ici 2030 on ait une empreinte carbone à l’échelle mondiale de 2 tonnes de CO2 par personne… Le challenge est donc immense et aucune baisse d’émission de CO2 n’est à négliger.

Oui l’avion pollue…

Un passager en avion émet 285 grammes de CO2 sur un kilomètre, contre 158 grammes en voiture et seulement 14 grammes en train (chiffres de l’Agence européenne de l’environnement). L’avion est donc le moyen de transport le plus polluant. Le secteur aérien serait responsable de 5% des émissions mondiales de CO2, 2% d’après l’Organisation de l’aviation civile internationale… (explications de l’écart sur le lien à la fin du bloc)

L’avion pour une justice climatique

Beaucoup disent que 2% (oui surprise, les défenseurs de l’avion parleront du 2% pas du 5%…) des émissions de CO2 sur tout le reste c’est rien et qu’il ne faut pas dramatiser. Mais à l’échelle mondiale, 90% des personnes n’ont jamais pris l’avion. Seul 10% de la population est donc à l’origine de ses « petits » 2%/5%. Ces 10% se composent de la partie de la population la plus « aisée », mais malheureusement, ces habitudes de voyage et de consommation impactent de manière plus rapide et plus forte les populations qui n’auront jamais mis un pied dans un avion.

L’avion y passera (et doit y passer)

Ce mode de voyage n’est pas viable et ne peut pas être maintenu comme tel pour répondre au défi climatique qui nous attend. Ce n’est pas la technologie qui nous sauvera, l’avion électrique, hydrogène ou bio quelque chose. Le seul moyen est de réduire drastiquement notre utilisation de l’avion, voir d’arrêter de le prendre (rappelons-nous de l’objectif de +2°C… avec l’avion, c’est impossible de s’y tenir).

> Pour aller plus loin, on vous recommande vivement l’article de Bon pote « Pourquoi arrêter l’avion ne devrait plus être un débat »

Ils sont contre la 5G

Ah la 5G ! Le sujet qui a beaucoup fait parler ces derniers temps. La cinquième génération de réseaux mobiles arrive à grands pas et succède aux technologies 2G, 3G et 4G. La nouvelle révolution réseau qui permettra un meilleur débit et plus de capacité pour échanger encore plus de données / encore plus vite. Elle favorisera aussi le développement de services innovants pour les particuliers et pour les entreprises dans de nombreux domaines (santé, transports intelligents, voiture autonome….).

Mais non, les écolos disent qu’avant de se lancer tête baissée dans cette nouvelle technologie « révolutionnaire », il aurait fallu se poser des questions essentielles : « Est-ce la priorité ? », « Est-ce le monde qu’on veut demain ? Est-ce essentiel ? Quel impact cette technologie aura sur l’environnement et sur notre santé ? » …

*Le pire c’est qu’ils ont raison…


Effectivement une réflexion collective sur la 5G aurait été la bienvenue. En Juin 2020, Emmanuel Macron disait fièrement que « Oui, la France va prendre le tournant de la 5G », en contradiction entre autres avec de nombreux citoyens, des associations environnementales, la Convention citoyenne et 70 élus de gauche et écologistes qui demandaient un moratoire sur le déploiement de la 5G. Mais cela n’a rien donné… « La 5G il faut y aller », mais non sans impact :

Pas de risque sur la santé… enfin… pas trop

C’était la première inquiétude des opposants, la 5G est-elle sans risque pour la santé ? Une question qui fâche avec des réponses un peu floues… Pour que le réseau 5G fonctionne, il faut une multiplication d’antennes relais pour traverser les obstacles (murs, bâtiments, végétaux, pluie….). Une antenne 4G qui émet 700 Mhz a une portée de 5 km de rayon, contre seulement 1 km pour une antenne 5G de 3,5 Ghz et 500 mètres pour une antenne 5G de 26 Ghz.
Donc la multiplication des antennes est obligatoire (sur les lampadaires, sur les toits, sur les biens publics…) et plus il y a d’antennes, plus il y a d’ondes, plus elles sont puissantes, plus le risque sur la santé est fort.

Bien qu’en France, l’Agence Nationale des Fréquences et l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire ont conclu que non, il n’y avait pas de risque avéré, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) elle, a classifié les radiofréquences de 30KHz – 300 GHz (Hertz) en carcinogènes possible pour l’Homme.
Quoi qu’il en soit, les scientifiques s’accordent sur une chose : c’est qu’on n’a pas assez de recul pour savoir si oui et non c’est dangereux pour la santé. C’est là qu’on comprend mieux l’intérêt d’un moratoire…

La 5G, un gouffre énergétique et un désastre écologique ?

Selon le Shift project, la consommation énergétique de l’industrie numérique augmente chaque année de 9 %, la plus forte augmentation de tous les secteurs industriels. A cette allure, c’est une consommation doublée en 8 ans. Les émissions de gaz à effet de serre du numérique suivent cette tendance et de +8 % par an. La fabrication des objets du numérique (des smartphones aux antennes) pèse pour près de la moitié de la consommation globale, le reste se répartissant entre l’alimentation des réseaux, le fonctionnement des DataCenters et l’utilisation des terminaux.

La 5G va donc automatiquement demander plus d’énergie et émettre encore plus de CO2. Niveau écologique, c’est… moyen.

La 5G, une invitation à la consommation

Qui dit 5G dit nouveaux équipements, à commencer par des nouveaux smartphones capables de capter le réseau 5G. Cette nouvelle technologie laisse entrevoir le boom des objets connectés. Au delà de la consommation matérielle c’est aussi la consommation numérique qui va bondir, de plus en plus de données, des fichiers de plus en plus lourds. Prenons le cas du streaming par exemple, déjà très énergivore, son utilisation va exploser tout en donnant accès à des images d’encore plus haute qualité en ligne (4K).

La 5G va amener à consommer encore plus, encore plus vite. Du smartphone au streaming, le monde sera encore plus (dé)connecté…

> Pour aller plus loin, on te conseille de lire notre réflexion sur cette hyper connexion dans notre article « sommes-nous devenus trop (dé)connectés ? »

sources : reporterre , santé magazine , notre-planete

On aurait  aussi pu dire :

  • qu’ils sont pour la décroissance
  • qu’ils demandent une politique plus participative
  • qu’ils appellent à consommer moins
  • qu’ils veulent qu’on se reconnecte au vivant
  • qu’ils veulent qu’on se mette au vélo
  • etc, etc…

En fait les écolos sont chiants parce qu'ils ont raison

Ils disent des vérités qu’on ne veut pas entendre

Les écolos ont des discours qui font mal. Qui veut entendre que sa maison va disparaître par la montée des eaux ? Que 60% des populations d’animaux sauvages ont disparu en 40 ans ? Que nous connaitrons des guerres climatiques d’ici quelques années ?
Pessimistes, alarmistes, il y a de quoi l’être quand on voit les menaces qui pèsent sur la planète et l’humanité si l’on ne fait rien. Les discours et les cris d’alerte qu’ils portent ne sont pas des fantasmes, ils sont malheureusement basés sur des données scientifiques. Ça aussi c’est chiant…

Ils veulent impacter notre quotidien

Les écolos sont chiants car ils veulent qu’on change nos façons de vivre, nos habitudes, notre consommation, notre système économique. Oui, l’écologie va impacter nos quotidiens, seule solution pour que les choses aillent dans le bon sens.
Le voyageur devra se modérer sur l’avion, le passionné de mode devra dire adieu à la fast fashion, le geek devra se calmer sur les gadgets high tech, le viandard devra ralentir sur les barbecs… Chacun sera impacté et devra se remettre en question, changer ses habitudes, revoir ses priorités.
Voilà une autre raison qui fait que les écolos sont chiants…

Dans cet article, nous avons volontairement pris les sujets sensibles qui font débat aujourd’hui. L’idée étant de montrer que même si les discours écolos effraient, ils sont simplement des réponses proportionnées à la réalité.
En 2021, face à l’urgence de la situation, être écolo est-ce une option ou une obligation ? Les rapports scientifiques laissent entendre que l’option B est la plus appropriée.

Soyons chiants… soyons écolos 😉

Pour se quitter sur une note positive et se projeter autrement, on se demandait s’il n’était pas temps de « rêver plus de moins » ? On se retrouve ici ?

engageons-nous ensemble !

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